L'HOPITAL SAINTE BARBE
Il a été construit en 1898 et comportait 27 lits.
Il avait été financé par les Mines de Hussigny, la Société des Mines de Godbrange, la Société des Mines de la Côte Rouge, la Société des Mines de Tiercelet et la Société Lorraine Industrielle à parts égales.
En plus du traitement des mineurs, ouvriers et leurs familles, on y soigna des blessés au cours des deux dernières guerres.
Le bâtiment était situé dans un grand parc dont une partie en verger, à l'emplacement de la supérette actuelle.
Il avait été financé par les Mines de Hussigny, la Société des Mines de Godbrange, la Société des Mines de la Côte Rouge, la Société des Mines de Tiercelet et la Société Lorraine Industrielle à parts égales.
En plus du traitement des mineurs, ouvriers et leurs familles, on y soigna des blessés au cours des deux dernières guerres.
Le bâtiment était situé dans un grand parc dont une partie en verger, à l'emplacement de la supérette actuelle.
L'hopital peu après sa construction
Extrait d'une carte postale de J.B. Marie
Extrait d'une carte postale de J.B. Marie
L'hopital dans les années 50
Extrait d'une vue aérienne CIM
Extrait d'une vue aérienne CIM
Deux vues aériennes de l'hopital dans les années 50 - 60
L'hopital peu avant sa démolition
Frontière
Hussigny . — Le calme le plus complet règne maintenant à Hussigny . Les cuirassiers qui y avaient été envoyés ont regagné Longwy. Le départ des cuirassiers a été marqué par un grave accident qui a failli coûter la vie à plusieurs cavaliers. A la sortie du village de Hussigny , dans une pente très rapide, les chevaux d’un fourgon de bagages se sont emportés. L’un de ces chevaux tomba, entraînant son cavalier et la voiture versa dans le fossé. Les trois cavaliers qui se trouvaient dans ce fourgon reçurent des contusions et furent serrés entre les parois du fourgon qui se brisèrent. Un maréchal chef des logis vint aussitôt prévenir le docteur Haut qui partit immédiatement sur le théâtre de l’accident, afin d’aider son confrère, l’aide-major de l’escadron, à donner des soins aux victimes. Toutes trois furent ramenées à Hussigny sur la voiture de M. Noël, de Villers-la-Montagne, et admises d’urgence à l’hôpital Sainte-Barbe. Leur état inspire de sérieuses inquiétudes.
L'indépendance luxembourgeoise - 01.09.1905
Hussigny . — Le calme le plus complet règne maintenant à Hussigny . Les cuirassiers qui y avaient été envoyés ont regagné Longwy. Le départ des cuirassiers a été marqué par un grave accident qui a failli coûter la vie à plusieurs cavaliers. A la sortie du village de Hussigny , dans une pente très rapide, les chevaux d’un fourgon de bagages se sont emportés. L’un de ces chevaux tomba, entraînant son cavalier et la voiture versa dans le fossé. Les trois cavaliers qui se trouvaient dans ce fourgon reçurent des contusions et furent serrés entre les parois du fourgon qui se brisèrent. Un maréchal chef des logis vint aussitôt prévenir le docteur Haut qui partit immédiatement sur le théâtre de l’accident, afin d’aider son confrère, l’aide-major de l’escadron, à donner des soins aux victimes. Toutes trois furent ramenées à Hussigny sur la voiture de M. Noël, de Villers-la-Montagne, et admises d’urgence à l’hôpital Sainte-Barbe. Leur état inspire de sérieuses inquiétudes.
L'indépendance luxembourgeoise - 01.09.1905
Diocèse de Nancy et de Toul. Répertoire-Guide des oeuvres. 2e édition publiée sous le haut patronage de Mgr Hippolyte de La Celle, évêque de Nancy et de Toul